Auteur/autrice : kiko

     Prenez notre logo… Allez-y, regardez le bien… Vous y voyez quoi ? Une auto ? …Bien ; et très ancienne, celle-là ! Et ensuite… Une moto ? …Parfait ! Vous avez bien observé ! …Mais si vous regardez encore plus profondément… Un peu plus haut, à droite… Et oui : il y a un avion !!! Mais nous ne parlons, pour ainsi dire, jamais d’avions, à l’ARH : Je vais donc réparer cette carence de ce pas.

     Ce week-end du 5 juillet, le Rétro Club Hémois a été convié à participer au meeting aérien de Bondues, en exposant des véhicules militaires anciens pour accompagner les vieux coucous de la Grande Guerre, prévus pour le week-end. Notre Président, qui est aussi membre du RCH, et moi, nous sommes donc rendus sur place (je représentais  l’ARH, vu que je ne suis pas membre RCH !).

     Sur place, le samedi matin, nous avons retrouvé sans mal Sylvain, Jean-Noël, Olivier et les autres RCHistes, un peu perdus au bord du tarmac censé accueillir les vieux avions… Et oui, parce que des vieux avions, il n’y en avait pas… Ou très peu. Et nos partenaires Hémois n’avaient aucune indication de la part des organisateurs sur le déroulement des festivités et sur l’endroit où ils devaient se déployer. A cet instant, les véhicules étaient encore alignés le long d’un des hangars à oiseaux mécaniques…

     Le temps passant et la situation n’évoluant pas d’un pouce, Jean-Noël, responsable du groupe RCH pour la journée, se démena pour soutirer un minimum d’infos au staff du meeting, allant même jusqu’à traverser tout l’aérodrome pour y rencontrer la 2ème équipe organisatrice, à l’autre bout du site… Et oui, parce qu’en plus l’aérodrome comprend deux entités apparemment distinctes qui, visiblement, ne sont pas sur la même longueur d’onde… Ce qui doit être à l’origine de ce manque cruel d’organisation ! Jean-Noël donc, voyant que d’un côté rien ne bougeait et de l’autre on lui demandait de ne venir se déployer de ce côté du site que le lendemain dimanche, a manifesté son mécontentement, menaçant de foutre le camp immédiatement…  …Chose que nous avons fini par faire un peu plus tard (vers 15 h), déclinant même l’invitation au barbecue prévu le soir par le groupe organisateur n°1, où l’on était invité à manger en compagnie des pilotes des vieux coucous.

     Le lendemain : autre journée, autre atmosphère. D’abord, nous nous étions donné rendez-vous cette fois de l’autre côté de l’aérodrome où, visiblement, il y avait plus d’activité, et pour cause : c’était, en fait, le point principal du meeting, où allait être accueilli le public. Enfin, j’exagère un peu car à l’endroit où nous étions la veille devaient arriver 17 vieux avions de la Grande Guerre (on était donc au bon endroit), mais nous avons appris après coup qu’ils venaient d’Angleterre et qu’à cause du mauvais temps régnant sur la Manche, ils avaient annulé au dernier moment leur participation. Voilà qui expliquait ce sentiment de manque d’organisation de la veille, le groupe organisateur n°1, qui nous avait invité, devait être aussi désemparé que nous… Bref, nous avons pu installer les véhicules à l’entrée du site, tout près du « Cockpit », lieu de passage obligé du public. Jean-Noël, qui avait failli ne pas revenir ce dimanche matin, était un peu plus satisfait de la tournure des événements ce 2ème jour. Et le meeting, malgré l’absence de 17 avions (une paille !), a pu commencer enfin.

     Bien sûr, comme si les soucis du début ne suffisaient pas, la météo, qui avait été clémente la veille, s’est révélée bien plus humide et menaçante ce dimanche matin… Nous faisant même penser que les démonstrations aériennes allaient être annulées ! …Mais comme par miracle, alors qu’une minute avant (et je n’exagère pas !!!), il drachait fort, pile à l’heure prévue du début des vols, le ciel s’est dégagé et a laissé le champ libre aux aviateurs… Et dire qu’on critiquait l’organisation juste avant ! On a donc pu enfin admirer les acrobaties aériennes tant attendues, et le spectacle fut si attrayant qu’il nous fît presque oublier l’absence cruelle des vieux coucous et les déboires de la veille ! On a pu admirer entre autres des oiseaux de la Seconde Guerre Mondiale comme le Yak 52, le T 6, ou encore un magnifique Auster Mk-5 modifié; et d’autres appareils comme l’Extra-300, le Fouga Magister ou l’Epsilon… Un magnifique spectacle d’acrobaties aériennes avec deux Boeing Stearman Modèle 75 Pt 17, pilotés par des femmes et emportant sur leurs ailes… Deux autres filles ! C’est un groupe connu : les Breitling Wingwalkers… …Une vidéo du week-end sera très vite disponible !

     Moralité : Nous nous sommes tout de même régalés, malgré un début difficile et un grand merci à Jean-Noël  qui s’est démené tout le week-end pour nous. Il m’a compté automatiquement parmi le groupe RCH, me faisant bénéficier du même coup de la gratuité des repas et des boissons tout le week-end, et m’a même prêté son Pass VIP pour me permettre d’approcher les avions au plus près et les photographier pour vous…

            Jean-Christophe G

     Une fois n’est pas coutume, le FBM cette année a fait l’objet de beaucoup de bouleversements… Déjà la date, plus tardive qu’à l’accoutumée, puisque nous étions à la toute fin du mois de juin… Quelques heures seulement avant les vacances pour certains. Et puis, nos emplois du temps ont bouleversé nos implications à l’événement : qui avait un anniversaire, qui avait un repas commémoratif, qui avait rendez-vous avec la mer… Résultat : peu de monde pour préparer le stand, pas grand monde pour le tenir tout le week-end et presque personne pour tout remballer. Autant vous dire que notre Président s’est fait des cheveux blancs…

     On a quand même réussi à tout ramener en temps et en heure sur place pour installer notre stand. Et pour la seconde fois, nous avons  amené la plancha pour les repas de midi.

     Le chapiteau – et oui, il n’y en avait qu’un cette année ! – était garni essentiellement de DS, accompagnées de quelques vieilles américaines d’avant guerre et des traditionnels stands de clubs et autres vendeurs de pièces et documents. A l’extérieur, d’autres revendeurs de pièces d’occasion entouraient le chapiteau mais ils étaient peu nombreux par rapport aux années précédentes. Le grand parking, lui, était bien rempli, comme toujours ; quant au vélodrome, j’y ai fait un tour tout de même mais n’y suis pas resté aussi longtemps que l’an passé. Parait-il qu’un défilé spécial DS était organisé mais je ne l’ai point vu… D’après les élucubrations de Picsou, le lendemain Dimanche, c’est à ce moment-là qu’il a eu lieu ; mais je ne suis pas venu dimanche…

     A ce propos : un grand merci Jean-Louis H d’avoir, d’une part pris des photos dimanche et de me les avoir envoyé ensuite, spontanément : cela permet d’étoffer cet article… Bonne initiative ! D’ailleurs, voici le message en intégralité que tu m’as envoyer avec les images :

          Bonjour a ter tous,
          Voici quelques photos de notre après midi de Dimanche. Il parait, je dis bien, il parait que Jean Luc (notre Picsou national) a eu des problèmes avec sa DS. Est-ce vrai ? C’est par économie qu’il roule sur 3 Roues ???????   Heureusement notre Président savait réconforter ses administrés.

     Après avoir donc pris quelques photos (beaucoup moins que les années précédentes !), fait cuire la viande à la plancha pour l’assemblée du samedi (2 services tout de même !) et fait quelques tours de piste, je suis rentré le soir pour ne pas revenir le dimanche ; mais promis, je me rattraperai l’an prochain !!!

Jean-Christophe G

     Et oui, une fois de plus le patron des voyageurs a offert sa protection à nos belles mécaniques…  Et qu’on y croit ou pas, nous étions tous bien là pour cet événement annuel et tourquennois, devenu depuis longtemps déjà, une institution.

     Le rendez-vous du club cette année fut, comment dire,… Administratif : n’en déplaise aux détracteurs de la fonction publique, c’est sur le site de l’Ecole Nationale des Douanes de Tourcoing, dont le Directeur avait très gentiment accepté de nous en ouvrir les portes – merci encore Monsieur le Directeur – que nous nous sommes rassemblés avant une arrivée en convoi aux pieds de l’Eglise Saint-Christophe de Tourcoing. Rassurez-vous : point de contrôles inopinés sur le site ; pour une fois, les douaniers ne furent pas répressifs, mais plutôt admiratifs.

     Nous nous sommes donc rendus au cœur de la ville et nous sommes fondus dans la masse des quelques 500 véhicules (voire plus !), qui arrivaient en un flot constant depuis toute la région…  Et même pour quelques uns, de plus loin ! Loin d’être en retard au rendez-vous, nous avons pu garer nos autos au début du parvis, près de l’Eglise. Olivier, toujours fidèle au poste, nous a accueilli à l’entrée du parvis, nous remettant tickets boissons et feuilles de présence à chacun. Et c’est lui seul qui a accueilli tous les participants : de patience et de zénitude il a du faire preuve ! Nos feuilles de présence en main, on a pu rendre visite à Michèle M qui était en charge de remettre les porte-clés personnalisés aux participants.

     Ensuite, chacun est passé devant le curé de Tourcoing (non, par pour ce que vous croyez !) qui, du haut de son perchoir installé le long de la rue, face à l’Eglise, a béni chaque véhicule passant sous son nez,… Bus de Transpole compris ! Et un tour dans le centre-ville, comme chaque année, était organisé. Personnellement, après pas mal de photos prises sur le bord de la route, j’ai pu embarquer dans un Combi dont le chauffeur, un tantinet baba-cool, a bien voulu s’arrêter pour moi. On a donc suivi le parcours comme les autres… Enfin, pas tout à fait comme les autres : mon chauffeur a tout de même défié une Charger, bien connue à l’ARH… …Et bien croyez-le ou non, mais après quelques départs arrêtés à la faveur de feux rouges sur le parcours, il a réussi une fois à laisser la Charger sur place, si si, j’y étais ! …Bon d’accord, après, sur la distance, elle nous a redépassé… …au bout de 6 mètres !!! Mais, et c’est désormais dans les annales de l’ARH : Niko a mangé une Charger bien musclée avec son Combi Volkswagen sur 5 mètres environ ; et ça c’est pas d’la chance, c’est la classe !

     Pour le coup à boire, l’unité régnant habituellement au sein de l’ARH a fait Pschitt ; chacun a fait à sa manière, formant de petits comités, voire même avec des connaissances étrangères au club… Mais qu’importe : l’essentiel était de s’amuser et savourer cette manifestation sympathique. D’autant, qu’après on s’est réunis autour d’une longue table, à la « Piccola », pour un repas « familial » et convivial. Au menu : terrine maison, poulet en sauce, légumes, gâteau et bonne humeur. Nous remercions le personnel de la « Piccola » pour leur accueil « exclusif » – ils n’ont, une fois de plus, ouvert que pour nous.

     Chacun est ensuite rentré chez soi, après avoir admiré une Traction coupée, encore garée, seule, sur le parvis… On a même vu notre Président tenter de cacher en vain son émotion, devant ce tableau !

     L’ARH étant tout de même bien vue au sein des organisateurs de cette manifestation, nous avons été approchés par certains qui nous proposaient ni plus ni moins de participer à l’organisation de cet événement, à compter de l’an prochain, d’autant que certains de nos membres font d’ores et déjà partie du staff organisateur des « Amis de Tourcoing ». C’est à voir ; il faut creuser la question. Ce sera évidemment l’objet d’un long débat entre nous…

Jean-Christophe G

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A l’année prochaine !

Qui a cru qu’il ne se passerait rien au Jardin de la Paix, à Halluin, cette année ? C’est vrai quoi ! Après tout, on n’organise notre Balade-Expo que les années pairs, ce qui implique inévitablement qu’à part quelques parties de pétanque endiablées, siestes tranquilles sur un banc, et autres sécrétions canines inopinées, qu’il n’était censé ne rien se passer sur ce carré de verdure halluinois…

Mais que nenni ! C’était sans compter la fête de la musique et l’arrivée de l’été ! Et oui, le parc a été envahi ce dimanche 21 juin par quelques musiciens en herbe (ça tombe bien, pour un parc !)… Et par nous !

Et oui, nous étions mandatés cette année par l’ACVENF pour organiser le 14ème Pique-Nique Interclubs 2015. Naturellement, nous avons choisi le jardin de la Paix comme décor et le 21 juin comme date.

La veille, nous n’étions pas nombreux à donner du temps pour préparer l’événement : Seuls Didier, Jean-Phi, Picsou, Eric et moi étions présents à l’atelier… Heureusement, le jour J au matin, par un prompt renfort, nous nous vîmes… Non pas 5000, mais une bonne dizaine tout de même, suffisant pour être prêts à l’heure !

Restait plus qu’à espérer que le temps ne se gâte pas et que le public soit là… Croisons les doigts. Faut dire que nous étions un peu dubitatifs car, à part nous donner l’aval pour organiser ce Pique-Nique et pour offrir un apéro, l’ACVENF n’a pas préparé grand chose : il nous a donc fallu organiser absolument tout. Oh, ce n’est pas que ce soit vraiment un problème, et pourquoi pas, après tout. Mais il aurait été plus sage de nous le faire savoir dès le début ! On n’avait même pas une banderole à leur effigie, à déployer à l’entrée du site, c’est tout de même un peu dommage pour un événement créé par eux à la base…

Mais n’en parlons plus : visiblement, Mr ROUSSEL, le Président de l’ACVENF était ravi de notre organisation de l’événement, et c’est bien là l’essentiel ! On regrettera juste le faible nombre de voitures… Et de public ! Mais la météo était timide, et parfois menaçante, la date des fêtes des pères et de la musique jumelées a dû empêcher bon nombre de gens de venir, et le manque cruel de publicité malgré nos efforts, ont du contribuer sensiblement à ce résultat mitigé.

La buvette a bien marché quand-même, malgré l’absence remarquée d’un panneau de tarifs digne de ce nom… Mea Culpa : c’est de ma faute, je n’ai pas corrigé le premier jet qui n’était pas utilisable en l’état, et malgré l’absence de fond de caisse de départ, vite comblée par quelques âmes généreuses venues avec quelques sesterces sauver Picsou d’un grand moment de solitude.

On remercie également les musiciens qui, bonant mallant, ont assuré leur tâche avec brio, créant une ambiance sonore agréable tout au long de la journée. Il s’agissait d’une MJC halluinoise, donc des amateurs : Bravo à eux, c’était réussi ! La friterie de la Rouge Porte était présente, une fois de plus, et a rempli merveilleusement son rôle, malgré le manque de clientèle… Ils ont même refusé que nous payions nos repas (ceux d’entre nous qui ont bénéficié d’un ticket repas pour service rendu), malgré notre insistance à les régler ! Nous les en remercions très chaleureusement ici.

Je voudrais préciser à ce sujet, vu que certains étaient surpris qu’on ne distribue pas de tickets repas à tous les membres, qu’il avait été décidé en amont, et clairement expliqué lors de la dernière réunion mensuelle, et c’est tout à fait normal, que seuls les membres venant donner un coup de main aux préparatifs, bénéficieraient d’un tel ticket pour le midi.

En conclusion, une belle journée, malgré tous ces petits couacs, qui a plu à beaucoup de monde. Merci à l’ACVENF de nous avoir permis de nous illustrer dans cette manifestation et un grand merci également au RAAF Club, au Duke’s Club, à IDéale DS Hauts de France, ainsi qu’aux autres assos que je n’ai pas su identifier, je m’en excuses platement.

Alors, n’est-elle pas belle, la vie… Avec l’ARH, bien sûr !

Jean-Christophe G

C’est l’histoire de deux copines, pas toutes jeunes, qui après avoir beaucoup voyagé durant toutes leurs carrières, avaient opté pour un bout de terrain verdoyant, dans le quartier calme d’Ascq, le long de la voie ferrée… Oh non, il ne s’agît pas de Marguerite et la noiraude ! Nous n’avons pas à faire là à deux princesses bovines passionnées par les trains qui passent le long de leur pré… Si elles ont choisi ce lieu, c’est par nostalgie.  Quoi de plus logique pour des voyageuses ? Mais le seul point noir de cette retraite tranquille, c’est cette tranquillité, justement, qui au fil du temps devient trop présente, trop envahissante…

     Mais heureusement, malgré les apparences, on ne peut pas dire qu’elles étaient complètement livrées à elles-mêmes, abandonnées des hommes, qui avaient pourtant eu si longtemps besoin d’elles. Non, quelques-uns encore leur vouent toujours une admiration sans bornes et ont décidé de s’occuper d’elles, de les soigner, de les cajoler…

     Et aujourd’hui, ils ont décidé de passer à la vitesse supérieure, en leur offrant un jour de fête en leur honneur, invitant qui voudra bien à venir les admirer et leur tenir compagnie. Quel bonheur ! Ces humains qui paraissent habituellement  être emplis d’indifférence, voire d’ingratitude à leur égard, et qui, aujourd’hui, se souviennent soudainement à quel point ils appréciaient ces créatures ou auraient aimé les côtoyer du temps de leur splendeur !

     Nous étions là, nous aussi, à découvrir ou retrouver ces demoiselles d’un autre temps, ces machines, à watts ou à vapeur, qui sillonnaient les voies ferrées de notre pays, jour après jour, pour que l’on puisse se rapprocher les uns les autres… Un  vrai réseau social, en somme ! Oh, nous n’avons aucun mérite à cela ; rien de semblable avec l’amour que leur portent ces anges gardiens. Eux sont là chaque jour ou presque. Ils les repeignent, ils les restaurent. Ils les maintiennent dans le meilleur état possible, afin qu’un jour, sait-on jamais, elles puissent s’élancer sur les voies et retrouver les sensations de leur jeunesse, ne serait-ce qu’une seule fois.

     Venus chacun par nos propres moyens, nous nous sommes retrouvés, pour les plus rapides, sur place, arrivant en même temps ou presque, sans consultation préalable. Nous avons rangé nos carrosses au plus près de ces belles retraitées et nous sommes empressés de les explorer minutieusement, épaulés par ces passionnés qui nous racontaient volontiers leur fonctionnement et leur histoire. Merci à vous, messieurs, pour votre éclairage technique et culturel !

     A midi, deux repas par voiture étaient offerts par l’asso AAATV, créatrice de cet évènement. Il ne fut pas simple pour ses membres de satisfaire immédiatement tous ces propriétaires de belles mécaniques, venus tous en même temps réclamer leurs tickets repas. Les pauvres furent débordés un moment, mais ont su finalement résoudre le problème relativement vite et ainsi personne n’est resté sur sa fin !

     Dans le bâtiment, on pouvait admirer nombre de pièces mécaniques, d’objets signalétiques et autres postes de conduite anciens. Une véritable 232 miniature, réalisée par le Président de l’AAATV et fonctionnant réellement à la vapeur ! Et même un film tournait en boucle, sur un mur.

     Bref, tout avait été fait pour que nos deux copines retraitées passent une excellente journée… Et nous aussi, par la même occasion ! Juste, le public ne fut pas si nombreux : on aurait aimé voir plus de monde… …Mais si ça peut vous rassurer, j’ai parlé un peu avec elles juste avant de partir et elles étaient ravies d’avoir senti cette petite foule leur chatouiller le plancher et les flancs, l’une d’elles lâchant même quelques onomatopées furtives et stridentes, amusant les enfants et effrayant les plus grands.