LA BAIE NÉDICTINE : Jour deux

Dimanche 29 avril 2018.

Comme cela a été dit précédemment, tout le monde a bien dormi : certains épuisés par une semaine harassante, d’autres fatigués par cette première longue journée de route, voire pour certains par les deux, et les derniers juste parce qu’ils sont de grands dormeurs devant l’éternel… Bref, chacun a bien profité de cette première nuit réparatrice !

Mais tout le monde, cette fois, a bien respecté les horaires, même Max et Priscillia, et on était au grand complet devant les moteurs tournants à 9h00 tapantes, après avoir englouti un copieux et savoureux petit déjeuner offert… Ah, heu… Non, pardon ! Vendu par l’hôtel.

Au programme ? Bin, relisez vos documents, que diable ! …On devait se rendre à Fécamp pour visiter le palais Bénédictine, puis rouler jusqu’à Étretat… A la vérité, en écrivant ce résumé, j’ai eu un trou moi aussi et ne savais plus où nous étions allés ce jour… Mais comme mes petits doigts boudinés ne peuvent s’arrêter d’écrire, il fallait bien combler le vide. Voilà pourquoi je vous ai demandé de relire vos documents ! C’est un peu comme les comédiens, au théâtre, qui lorsqu’ils ont un trou en pleine représentation, doivent « meubler » le temps de retrouver leur texte… Mais il faut quand même que je raconte, pour ceux qui n’ont pas eu la chance (ou le courage !) de venir avec nous que j’avais préparé en amont un programme détaillant heure par heure, pour chaque jour, le déroulement de la journée avec adresses et téléphones des endroits où l’on devait s’arrêter. Je les ai distribué à tout le monde, mais ils n’ont pas cessé de me demander plusieurs fois par jour, quelle était la suite du programme… Heureusement que je l’avais appris par cœur ! Je me demande donc vraiment s’il est utile de préparer de tels documents à l’avenir !

Direction, donc, Fécamp et son palais. La route fut, une fois de plus, très agréable, même si le cortège s’est quelque peu désagrégé et le parcours prévu pas trop respecté, mais on a rencontré des déviations, il y avait des vents contraires, les astres étaient contre nous et… Quoi ? Oui, vous avez sans doute raison : en fait, on est surtout un peu indisciplinés !

On a quand même réussi à se retrouver, je ne sais par quel miracle, au point de rendez-vous, en chemin, sur le parking face à la plage d’Hautot-Sur-Mer. On y avait prévu de pique-niquer mais le temps se dégradait déjà et l’idée de manger dehors n’aurait pas gagné l’élection, s’il y en avait eu, au sein du groupe… Notre Président a bien tenté une négociation chez Adèle, la brasserie juste en face : la possibilité de pique-niquer sur leur terrasse véranda si on consomme les boissons de chez eux, mais il n’a pas eu gain de cause ! On a donc repris la route le ventre vide, pensant qu’on aurait un peu plus de chances plus loin…

Sur cette seconde partie du parcours, le groupe s’est vraiment disloqué. On s’est donc retrouvé en petit comité de quatre voitures, la 204, l’Opel cabriolet, la DS 19 de Bernard et Corinne et la Traction, à sillonner une route verte côtière parsemée de lacets serrés parfois montants et parfois descendants. Et toujours un paysage splendide avec, cerise sur le gâteau, un authentique château dans lequel Sissi Impératrice aurait séjourné… (on remercie Isabelle pour cette information impromptue mais très appropriée et qu’il aurait été dommage de rater). Enfin, on a fait que passer devant et on s’est arrêté un peu plus loin pour enfin manger un morceau sur le pouce. Petite parenthèse : manger sur le pouce est une expression apparue au début du XIXème siècle et signifiait à l’origine : manger debout et rapidement, le pouce servant de levier pour couper morceaux de pain et saucissons, entre autres. Mais revenons à nos moutons. Notre petite route bucolique nous a menée à bon port et la belle cité de Fécamp s’est déployée sous nos yeux ébahis. Très vite, nous avons repéré, parmi les maisons, un toit qui faisait immédiatement penser au palais recherché ; mais nous avions une bonne avance sur l’horaire prévue et décision fut prise d’aller déguster crêpes et gaufres, accompagnées d’une boisson chaude pour enfin prendre un peu soin de nos petits corps frêles. Une fois bien rassasiés, comme nous avions encore du temps devant nous, nous partîmes faire une balade sur le bord de mer. Pendant que je prenais des photos et filmais (les gens vont finir par croire que je ne sais faire que ça… Mais c’est juste que j’ai du être asiatique dans une vie antérieure, qui sait ?), le petit groupe que nous étions s’est encore scindé en trois. Max et Priscillia sont partis en amoureux vers les falaises en marchant sur les galets (enfin « en amoureux » : très vite Max marchait quelques mètres devant, sans attendre sa belle…). Les autres ont pris le chemin opposé vers l’embouchure du port et la jetée. Ania et moi les avons suivi a bonne distance, prenant le temps d’admirer le paysage.

Puis chacun a rejoint à son rythme le palais Bénédictine où presque tout le monde était déjà arrivé. Il a fallu encore attendre notre guide qui avait un peu de retard à cause du groupe précédant qui était arrivé un peu à la bourre ! Mais ce léger retard fut vite oublié devant sa sympathie et son humour. Ses explications étaient claires et fort intéressantes et comme nous étions un groupe visiblement très assidu, elle nous a même fait profiter de quelques secondes d’alarme… En fait, quelqu’un aura du s’appuyer sur une des vitrines et, immanquablement, une sirène puissante et stridente s’est déclenchée quelques instants, figeant sur place visiteurs et personnel du musée. Elodie, notre guide, une fois le calme revenu, justifia le caractère assourdissant de la sirène en précisant qu’elle était destinée à faire fuir rapidement les voleurs… La visite se termina dans la distillerie où est préparée la fameuse bénédictine, boisson légèrement alcoolisée (40°), aux 27 plantes et à la recette aussi secrête que celle du coca-cola (dixit Elodie) malgré les nombreuses tentatives de copies à travers le monde, et que nous pourrions goûter un peu plus tard sous une magnifique verrière en fer forgé, abritant la salle du bar du palais. Décidément, tout est fait pour séduire le client !!!

Après cette immersion dans les effluves de la Bénédictine, chacun repris la route à son rythme jusqu’à Bolbec (à une vingtaine de kilomètres de là) pour regagner l’hôtel relais qui nous attendait pour cette seconde nuit. Cette fois-ci le repas se prenait sur place dans le restaurant de l’hôtel, puis la plupart regagnèrent leur chambre sitôt le dessert englouti. Juste quelques irréductibles résistèrent un moment au marchand de sable, devant un Irish coffee qui ne restera hélas pas dans les annales…

 

Jean-Christophe G.

 

 

 

 

1ère escale à Hautot sur Mer…

 

 

 

haaa, les falaises !

 

…Et de chaque côté !

 

 

 

…L’homme à la Buick !

 

Double couvre-chef, c’est bien…

 

…Triple couvre-chef, c’est mieux !!!

 

Pause gaufres et cafés à Fécamp.

 

 

…Quelques grammes de douceur sous cette météo de brute !

 

 

 

Choueeette ! J’ai eu ma tarte !!!

 

 

Le littoral à Fécamp…

 

 

 

 

…Les paparazzis prennent de la hauteur !

 

 

 

 

Sous les galets, la plage !

 

 

 

Nature morte !

 

Le chenal du port…

 

 

Sur la jetée…

 

L’entrée du chenal.

 

 

Le palais Bénédictine…

 

Salle d’attente…

 

…Et de plus en plus de patients !

 

 

…C’est du propre ! Et devant sa fille, en plus !!!

 

Le créateur de la Bénédictine…

 

 

…Tirez la chevillette, et la bobinette chéra…

 

 

 

 

 

Ya plus simple, mais c’est moins drôle !

 

…Et voilà le trousseau !

 

 

Cuve de baptême… …A la Bénédictine ?

 

Deux solutions : ou il en a trop bu, ou il était dans le train avec nous la veille !

 

Et tout en ivoire !

 

Christ janséniste. Le jansénisme est une doctrine théologique à l’origine d’un mouvement religieux, puis politique et philosophique, qui se développe aux XVII e et XVIII e siècles, principalement en France, en réaction à certaines évolutions de l’Église catholique et à l’absolutisme royal. Le Christ y était toujours représenté les bras vers le haut : idée plus fidèle des pratiques romaines.

 

 

La nouvelle salle trouvée par notre Président pour les réunions future de l’ARH…

 

 

 

 

Les pseudo bénédictines du monde entier ! (échantillon)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le grenier aux ingrédients

 

La distillerie !

 

 

On est (presque) tous bien attentifs, là !

 

La cave.

 

L’espace dégustation !

 

 

 

 

 

…On a dit : dégustation !!!

 

Tout le monde a l’air d’apprécier !

 

 

 

 

Sortie d’un homme heureux…

 

 

On l’a croisée sur la route de l’hôtel…

 

Repas du soir…

 

 

 

 

Et n’hésitez surtout pas à écrire un commentaire : c’est plus vivant ainsi !

 

LA BAIE NÉDICTINE : Jour Un

Samedi 28 avril 2018 :

Le grand jour est enfin arrivé… Mais oui, vous savez bien : ce jour où nous devons arpenter, à 36, la côte entre Le Crotoy et Etretat… Ce jour où nous entamons un périple de quatre jours dans la baie de Somme et ses environs.

Nous étions tous là, à 7h00 du matin, enfin tous : non. Maximilien et Priscillia n’étaient pas au rendez-vous. Comme nous sommes mauvaises langues, cela ne nous a pas surpris ; sauf que cette fois-ci ils avaient une bonne raison : Priscillia ayant travaillé la veille jusqu’à 2h et demie du matin, on peut tout à fait comprendre que le réveil allait être pour le moins compliqué ! Mais le Président les a eu au téléphone et ils allaient nous rattraper un peu plus loin sur la route.

Le reste du cortège a donc pris la route en file indienne, après que Picsou 5 ait réveillé tout le quartier avec sa sono ; et, au bout de deux kilomètres seulement, on avait déjà semé trois voitures. Visiblement, on est des pros de la circulation en convoi ! Quand on pense que notre Président avait organisé un briefing détaillé à ce sujet lors de notre dernière réunion mensuelle…

Bref, tout allait pour le mieux quand, juste avant le premier point de ralliement, aux environs du kilomètre 50, la Cox cabriolet a vu un de ses pneus voler en éclats ! Boum, première grosse déconvenue de la journée… Qu’à cela ne tienne : on installe la roue de secours et hop, on reprend la route… Mais que nenni. Figurez-vous que le pneu de la fameuse roue de secours n’était pas conforme aux trois autres ! Et bien, quand ça veut pas, ça veut pas ! Il a donc fallu trouver un garage disposant d’au moins une paire des bons pneus. Heureusement, il y en avait un à 10 km de là. La Cox a donc pris sur 3 pattes et demie le chemin vers ce garage, escortée par Maximilien et Priscillia qui nous avaient rattrapés juste avant.

Le cortège s’est donc remis en route sans attendre et ils nous rattrapèrent beaucoup plus loin. On s’est égaré une ou deux fois (sinon c’est pas marrant !), mais sans que cela nous fasse perdre trop de temps. On a même pris le temps de s’arrêter à Saint Riquier, sur la place devant l’abbaye, que certains ont pris le temps de visiter, pour un pique-nique sauvage sur le parking. Mais ce festin fut de courte durée, dérangé par les premières gouttes d’une série qui allait accompagner presque tout notre périple ! C’est là que la Cox et son escorte nous ont rejoint.

La fin du parcours, jusqu’à Saint Valéry Sur Somme, s’est déroulée sans incident particulier, ouf ! Et nous arrivâmes à l’heure au rendez-vous avec le train de la Baie de Somme. Après que Picsou ait récupéré les billets pour tout le monde, nous prîmes place à bord du train, dans un wagon spécialement réservé pour nous (ils ont quand même bien fait les choses !) et nous voilà partis à la découverte de la Baie de Somme, bercés par le roulis bruyant du wagon et la fumée de la locomotive.

Quelques téméraires, ou curieux, ont opté pour un voyage en plein air sur la passerelle du wagon. Parmi les autres, bien assis dans le compartiment, certains accusaient déjà quelque fatigue et certains yeux se sont fermés. Quel dommage de rater ainsi le spectacle qui défilait dehors…

Le train nous amena au Crotoy où nous avons bénéficié de deux heures de temps libre avant de revenir sur Saint Valéry, toujours en train, pour récupérer les voitures restées sur le parking. Le Crotoy ? C’est assez joli, oui, mais moins que Saint Valéry. Par contre on y apprécie mieux l’estuaire de la Baie qui se dévoile entièrement devant la ville. Du côté de Saint Valéry, pour profiter d’un tel panorama, il faut prendre de la hauteur dans la partie haute de la ville, et là, le spectacle est éblouissant.

De retour à nos chères anciennes, nous sommes partis directement vers l’hôtel IBIS Budget, dans les faubourgs d’Abbeville, et avons pris un bon repas chaud au Comptoir du Malt, un restaurant situé tout près de l’hôtel. Puis nous avons chacun et chacune rejoints nos chambres. Je ne suis pas entré dans chacune d’elles pour voir, mais vu le silence rapide qui a régné dès les portes fermées, je pense ne pas trop me tromper en disant que nous nous sommes tous endormis sans difficultés…

Jean-Christophe G

 

 

 

 

 

 

Cherchons un peu d’abri.

 

Un champignon pour trois…

 

…Et en route !

 

 

1er point de rassemblement…. Bien gardé !

 

 

…Bon d’accord, mais on est où là ?

 

…Et on va… Jusque là, d’accord. Bon, bin c’est simple !

 

Vue d’ensemble

 

Malgré les apparences, ce n’est pas elle qui est en panne…

 

 

 

 

Escale à Saint Riquier.

 

…Les mécaniques se reposent !

 

L’abbatiale de Saint Riquier

 

Une visite s’impose !

 

 

 

 

 

 

 

 

…Tu clique là, hop, et tu vois les photos !

 

A table !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un bon café chaud après un repas froid !

 

…Hè, t’as vu ? …J’ai mon badge !

 

Ah ? On approche du clou de notre séjour !

 

Et hop, on gagne une place !

 

Saint Valéry Sur Somme…

 

…On attend le St Valéry-Le Crotoy de 14h30.

 

Bienvenus à bord

 

 

 

 

 

 

On n’est pas bien là ?

 

 

…Hop, regarde comment je prend discrètement notre photographe en photo…

 

 

 

…Premiers coups de fatigue.

 

 

…On n’avance pas beaucoup !

 

…Ca y est : y en a qui dorment ! C’est y pas mignon ?

 

 

 

 

Attention : un autre train entre en gare !

 

 

 

 

Coucou !

 

Satané reflet !

 

 

Il reste une place ?

 

 

 

Arlette à l’affût des p’tites bêtes…

 

L’Arlette de Pise !

 

Le marchand d’sable fait des ravages…

 

…Dans tout le wagon !

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est ça qui nous a tracté !

 

Temps libre au Crotoy…

 

La Baie…

 

…Le vent ne fait pas pencher que les arbres !

 

Les épaves de la Baie…

 

 

 

 

 

Le machiniste prépare sa belle pour le retour…

 

Autant pour moi : ils sont deux !

 

 

Pas très écologique tout ça !

 

 

 

…Quel vent !

 

 

 

 

 

 

 

 

Chasseuse d’images en plein safari !

 

La faune sauvage !

 

…Il en avait des comme ac, j’te dis !

 

Je crois qu’on arrive !

 

 

 

On nous attend à la gare…

 

Petite photo de groupe…

 

…Et en noir et blanc !

 

Allez : une dernière pour la route !

 

 

 

3ème RASSEMBLEMENT LAURIE 2018

Une fois de plus le soleil était au rendez-vous pour le traditionnel Rassemblement Laurie. Une fois n’est pas coutume, notre ancien Président Didier n’était pas présent à l’entame de ce rassemblement, à la grande surprise des premiers arrivants… Mais que se passe t-il ? Aura-t-il eu un contretemps ? …Et bien oui : il avait donné rendez-vous à Bernard DAN pour bricoler sur son tout nouveau jouet. Une authentique RENAULT Dauphine qui’ espérons-le, viendra rapidement nous rendre visite dans nos prochaines sorties !

Finalement, ils nous ont rejoint un peu plus tard, tandis que presque tout le monde était arrivé… …Puis vers midi : direction l’ancien local pour certains, pour le déménagement vers le nouveau local. Une journée bien chargée, en somme !

 

Jean-Christophe G

 

 

…Deux gardes du corps pour une Peugeot : Serait-ce un modèle rare que cette 204 ?

 

 

 

 

Tiens, une remorque ! Y aurait-il un chantier de prévu ?

 

L’ORTF était là aussi… …Mais on n’a pas vu de caméra !

 

Les trois mousquetaires… …Attendant D’Artagnan !

 

 

UN DÉGOMMAGE QUI DONNE DES AILES !

Que de salive aura fait consommer cette sortie dégommage « jumelée » ! Elle fut proposée par notre Président avec ouverture au club IDéale DS Hauts de France, mais cette initiative aura déclenché un débat houleux allant d’une extrême à l’autre.

On a d’abord entendu des voix dissonantes soit criant au crime de l’es-majesté : une sortie dégommage devant rester impérativement interne au club ARH, soit demandant que si l’on ouvrait ladite sortie à IDéale DS, il fallait également l’ouvrir à nos autres clubs partenaires ! D’autres même ont critiqué la distance à parcourir pour cette sortie et le choix de sa date, le jour du Rétro Mécanic de Roncq.

J’avoue que, bien que mon cœur penchait plutôt pour une sortie exclusivement ARH, toutes ces propositions contradictoires étaient légitimes ; aucune n’était farfelue. Mais cela a tout de même déchaîné les passions (et Dieu sait qu’on est tous passionnés à l’ARH !) et a pris une ampleur démesurée. C’est pour cela d’ailleurs qu’après avoir donné mon opinion, voyant certains frôler l’irrespect vis à vis de notre Président, j’ai préféré me taire et attendre la fin de l’orage. Nous sommes là pour nous amuser et passer de bons moments et pas pour nous invectiver… Je suis partisan que chacun exprime ses opinions, mais sans agressivité, s’il vous plaît.

La solution aurait été peut-être de soumettre l’idée à chacun plus en amont, sous forme de vote, ou bien de proposer dès le départ les deux événements (sortie Albert et Rétro Mécanic de Roncq) comme sorties officielles et chacun aurait choisi calmement selon ses convictions (après coup, la meilleure solution à mes yeux…). Le CA aura sans doute été maladroit sur ce coup-là, et je m’en excuse en son nom : il sera plus vigilent à l’avenir, promis !

C’est donc dans cette ambiance électrique, après que chacun ait fait son choix, qu’une cinquantaine d’entre nous, 29 ARH et 21 IDDS, avons pris la route vers Albert, petite bourgade de la Somme, abritant le musée de l’épopée et de l’aéronautique.

Tout d’abord, le choix du parcours, sous forme de Road-Book, s’avéra particulièrement agréable et pittoresque. Certains ont fait quelques écarts mais rien d’irrémédiable, et puis c’est ce qui fait le charme des road books ! On remercie donc l’auteure Isabelle DEBRUYNE.

Nous partîmes surtout entre membres de l’ARH, depuis Halluin, et rejoignîmes les autres, surtout des membres IDDS en chemin, à l’occasion de deux escales, l’une au P7 de Villeneuve d’Ascq, l’autre à Hénin-Beaumont.

Arrivés à Albert, trouver le musée fut un jeu d’enfant (toujours grâce au Road-Book d’Isabelle), d’autant que certains avions, et pas les plus petits, broutaient paisiblement sur la pelouse autour des bâtiments du musée. Pelouse d’ailleurs où nous nous installâmes dès qu’on est sortis des autos, déployant tables de camping et chaises en tous genres, pour une auberge espagnole digne des grands banquets d’Astérix (simplement, personne n’a voulu faire Assurancetourix, le barde!). Au menu, beaucoup de saucisson, différents pâtés, des tomates jaunes à la mayo (faut pas contrarier notre Président du vice !). Pour ceux qui n’auraient pas suivi l’affaire : il a passé tout le repas à nous proposer ses tomates qui n’étaient, en fait, autre que des pommes de terre mayo avec des œufs durs !!! Mais comme elles étaient délicieuses, on lui pardonne tout… On a eu droit aussi à des sandwiches, des chips, et autres douceurs maison ; puis du fromage et plusieurs gâteaux tous plus bons les uns que les autres : un réel festin, en somme (sans jeu de mots !) et sous un soleil radieux !

Sans doute attirés par l’odeur alléchée, alors que nous finissions le fromage, arriva un second groupe : les « Tractions Universelles », venus comme nous du Nord pour visiter le musée…

Pour la visite guidée, chaque groupe avait son guide. Le nôtre nous fit commencer par la Caravelle, posée sur la pelouse, fleuron de la compagnie Air France dans les années 70 (pour la petite histoire : premier avion que j’ai pris à l’époque pour aller chez mes grands parents, chaque été, en UM enfant non accompagné, avec AIR INTER, filiale nationale d’Air France !). Notre guide nous a invité à y pénétrer pour la visiter (cabine de pilotage comprise) et nous a fait installer sur les sièges un moment, on ne sait toujours pas pourquoi, mais nous sommes ressortis avec joie, vue la chaleur qui y régnait. Et oui : le soleil toujours présent tapait énergiquement, tel un joueur de batterie, sur la carlingue et la clim était en RTT.

Puis nous avons fait le tour des autres appareils posés à l’extérieur : un Mirage 3 prêt à décoller, un hélicoptère Dauphin se prenant pour un légo et un simulateur de vol Air France notamment, avant d’entrer nous mettre à l’ombre dans le premier hangar. Là, un parcours de moquette verte serpentait entre Super Sabre, Mirage 3, Super étendard, hélico Sikorsky, DC 10 et bien d’autres, nous faisant découvrir les uns après les autres, un peu à la manière d’Ikéa, des engins plus impressionnants les uns que les autres et pas seulement des volants : on y a découvert également des autos plus ou moins anciennes et autres deux roues. Certains même, parce qu’ils ont su garder leur âme d’enfants, auront reconnus les vaisseaux de leurs manèges d’antan, dans lesquels il ne valait mieux pas essayer de monter afin d’éviter d’être vexés ! Et oui : on n’avait pas la même taille à l’époque et eux n’ont pas franchement grandi !

Notre guide ne fut pas avare d’explications et d’anecdotes, nous révélant même certains aspects de l’histoire même de ce musée… Nous finîmes la visite par un bâtiment abritant plus de 300 maquettes d’avions de toutes sortes et une multitude d’objets d’époque, tels que vieux appareils photos et caméras, anciens casques militaires, machines à écrire ou à coudre (selon vos goûts!) et autres selles de vélocipèdes d’un autre âge.

Bref, ce fut une excellente découverte que ce musée privé perdu au cœur de la Somme, que je recommande vraiment à tout le monde. Je crois pouvoir affirmer qu’au sein de notre groupe bi-clubiste cette sortie a fait l’unanimité, et l’entente (mais je n’en doutais pas !) entre gens de l’ARH et d’IDDS fut absolument parfaite. Moi qui n’étais pas vraiment d’accord pour un dégommage commun, je reconnais que c’était finalement une très bonne idée. Parait qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, et puis moi, ça m’arrange !!!

Eh bien, je vais peut-être en faire râler certains mais tant pis, je me lance car vraiment je ne peux pas faire autrement : Alors, elle est pas belle, la vie… …Avec l’ARH/IDDS, bien sûr !

Jean-Christophe GARCIA

 

1ère escale au P7

 

 

 

 

 

Discussion sous arbitrage…

 

 

Les premières ailes de la journée…

 

…En voiture !

 

 

C’est le bordel dès les premiers mètres… Mais ça c’est les DS, encore !!!

 

Passager nostalgique…

 

On the road…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Laurent cherche sa voiture : si vous la voyez….   …Aidez-le !

 

 

…Ah, il l’a retrouvée… Et il la bichonne !!!

 

Mirage 3 prêt à bondir !

 

Un beau dauphin lego : avis aux amateurs !

 

Repaire pour parachutistes…

 

…En voilà justement deux !

 

Le repaire à l’action…

 

 

 

Levons une idée reçue : il y a plus de place dans le cockpit d’une GS que dans celui d’un Fouga !

 

En cas d’incendie, pas d’soucis : l’Amérique assure !!!

 

 

Une tête très médiatique ! Non pas qu’elle accueille les navires arrivant à New-York, mais parce que celle-là même était sur le plateau d’une émission TV avant d’atterrir ici…

 

 

La vérité est ailleurs…

 

Il faut quand même avouer que question couleurs, ils étaient un tantinet limités !!!

 

Toujours la même couleur, mais bien moins efficace en vol !!!

 

…J’avoue : j’ai failli craquer !

 

Hélico de poche…. …Oui, enfin : de grande poche !

 

Sikorsky… On l’aurait bien aimé en rose !

 

…Il a le nez bien chargé !

 

 

Cette première visite n’était qu’un avant goût. Place au pique-nique avant tout.

 

 

 

Dès qu’il fait beau, on recherche l’ombre… …Décidément, on n’est jamais satisfaits !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Caravelle…

 

Bienvenu à bord, je suis votre Stewart….

 

 

Le Président espère une destination de rêve…

 

Avec un pilote comme lui, je suis pas sûr de vouloir rester à bord…

 

 

 

A bord du simulateur…

 

 

Détail d’une nouvelle venue dans le club.

 

Une PUCH venue avec le club T.U.

 

 

Enfin, la visite guidée !

 

 

 

 

 

Avion école

 

 

Que des oreilles attentives !

 

 

Alors là, cas d’école : avion ou auto ?

 

 

…Un cigare à parachutistes

 

 

 

Quand je vous parlais d’Ikea dans l’article !

 

Mais que fait-elle là ?

 

Ah, je vois : elle hésite entre la Fuego et l’Alouette !

 

 

…Curieuse rencontre, n’est-il pas ?

 

Deux copines inséparables en pleine discussion !

 

Certains se sont vraiment pris au jeu !

 

 

 

Les bonnes copines…

 

Après un après midi « culture », en route pour une bière à… …heu… …Bon, Arras, finalement !

 

 

Le chevalier et sa monture !

 

 

 

On n’avait pas dit une bière ?

 

…Visiblement, non !

 

Damned : je fais partie des gourmands !!!

 

 

 

 

 

 

…Les gourmands ont quand même pris un verre…

 

Sur le chemin du retour, vu que les routes étaient encombrées, nous avons opté pour un arrêt friterie tranquille… …Nous n’étions plus que quatre !

ON A MARCHÉ SUR LE NOUVEAU LOCAL 2 : Les murs sont partis !!!!

Bonjour a tous,
Nous étions quatre pour cette deuxième manche du match murs de plâtre contre ARH.
Rassurez-vous le plâtre a perdu et il a terminé sa carrière au fond des bennes de la déchèterie d’Halluin qui au passage s’est montrée fort sympathique.
Le travail ayant été préparé par l’équipe de choc de samedi ce fut presque une promenade de santé pour mettre par terre et évacuer les plus de deux tonnes de plâtre.
Tellement facile que ce qu’avait prévu nos « Jean » du samedi est parti avec le reste. Donc plus de pièce n°2.
Mais voyez plutôt…
A bientôt.
Jean-Luc D