Nous nous sommes retrouvés, quelques-uns, ce samedi 16 mai vers 14h30, au local du club, pour parfaire les réparations de la toiture, ranger le bordel ambiant, nettoyer un peu les lieux et… installer la lumière !
Nous étions donc huit : Didier, Bernard, Jean-Luc D, Laurent, Patrick, Francis M, Sarah et moi. Jean-Philippe et Marie ont également fait une apparition furtive afin de venir nous ouvrir l’accès au sanctuaire, mais n’ont pu rester, ayant d’autres obligations par ailleurs (les préparatifs de l’anniversaire de leur fils Jean-Charles, à qui l’on souhaite un joyeux anniversaire…).
Deux équipes se sont formées quasi naturellement. D’un côté, Jean-Luc, et Didier sont montés s’occuper du toit qui demandait encore quelques finitions, de l’autre, Patrick et Francis se sont attaqués à l’éclairage à l’intérieur. Restaient donc trois apatrides (Laurent, Bernard et moi) qui avons joué les satellites entre les deux chantiers pour apporter un soutien logistique aux deux équipes.
Sur le toit, l’équipe une a fini de « goudronner » les brèches dans les chêneaux, qui laissaient passer les eaux de pluies dans le bâtiment et Jean-Luc a fixé des plaques de plexi sur la dernière lucarne encore dépourvue de carreaux.
A l’intérieur, l’équipe deux a rassemblé les éclairages néon encore en état et notre ami Patrick (électricien de formation) en a fourni également. Il a ensuite repéré les fils électriques encore présents et utilisable pour refaire une installation correcte ; puis il a grimpé sur l’échafaudage pour installer les trois rampes d’éclairages disponibles et les raccorder au « réseau » électrique.
Après quelques aménagements et tours de tournevis, Francis a apporté à Patrick des tubes néon tout neufs. Il ne lui restait plus, alors, qu’à redescendre et raccorder les bons fils électriques au générateur que Bernard, Laurent et moi avions remis en route.
Et la lumière fut !
Il nous restait ensuite à faire un peu le ménage dans la grande salle, Didier et Laurent ont dégagé tout ce qui traînait dans la cabine du fond et qui ne servira plus et Patrick a continué sa quête des fils électriques perdus.
Sarah et moi avons récupéré les tendeurs et baguettes de bois des banderoles d’anciens sponsors avant de les jeter, ça peut toujours servir… Et Bernard et Jean-Luc ont nettoyé la pièce de ce qui traînait encore dans les coins.
Plusieurs membres (voire anciens membres) du club ont toujours du matériel perso en stock dans le local et pour parfaire le nettoyage des lieux, nous sommes arrivés à la conclusion qu’il serait bénéfique que chacun des membres concernés vienne assez rapidement récupérer son matériel, surtout s’il n’a pas de rapport avec l’activité première du club. Il ne faudrait pas que ce local devienne un lieu de stockage permanent d’objets divers et variés : il doit plutôt servir à des activités ludiques et divertissantes. Et moi le premier, qui ai stocké les sièges de ma Rosalie sur place, je m’engage à venir les récupérer au plus vite.
Après toute cette agitation et ce brainstorming final, il fallait bien passer au réconfort, et justement, Sarah et moi avions apporté jus de fruits , coca et gâteaux, et Laurent a sorti également une bouteille de coca, plus fraîche que la notre et qui a donc eu plus de succès ! Jean-Luc, qui ne tient jamais en place, n’a pas résisté au désir d’aller voir ce qu’il y avait de l’autre côté du mur, dans la première pièce, et est monté jusqu’au trou béant en hauteur pour satisfaire sa curiosité.
Finalement, après nous être sustentés (sans prendre une goutte d’alcool, une fois n’est pas coutume !) nous avons chacun repris la route pour regagner nos pénates, tous satisfaits de notre action de la journée… …Alors, elle est pas belle la vie ? Au local de l’ARH, bien sûr !
Jean-Christophe G