Les 12 et 13 mai 2018 étaient organisés les 50 ans de l’association l’AMITRAM. Après une inauguration en présence des fondateurs de l’association et des maires concernés, hé oui ces gens s’amusent avec des jouets bien plus gros que les nôtres, et ils s’étalent sur deux communes : Marquette Lez-Lille et Wambrechies, le public a pu envahir le dépôt abritant les quelques 61 véhicules, ateliers de métallerie et de menuiserie que possède l’AMITRAM. Christophe Meuris, nouveau président depuis quelques mois, assistés de trois adhérents de qualité (Cécile, Ludovic et Jean-Louis) tous trois multicartes, nous avaient réservé « le gite et le couvert » pour ces deux jours.
Que de souvenirs d’enfance retrouvés lors de cette visite, avec les véhicules qui me conduisaient à l’école, les documents d’époque et les anciens de l’association qui n’étaient pas avares d’anecdotes sur les transports en commun qui ont occupés toute leurs vies. Bien sûr nous avions un accès libre aux bus qui reliaient les deux sites et aux trois tramways qui se dandinaient sur les bords de la Deûle.
Le samedi au soleil nous étions 9 voitures : la traction de Didier, l’ami 6 de Bernard, le combi de Pierre, la 205 de Caroline, la R16 de Jean-Louis, la DS de Jean, la Rallye 2 d’Eric, le DS de Laurent et mon étoile 6. Dimanche 9 voitures aussi, cette fois garées au départ des trams : la traction de Didier, l’ami 8 de Bernard, la R16 de Jean-Louis, la DS de Jean, la DS de Laurent, la Volvo de Francis, la R4 de Jean-Philippe, la 4cv de Régis et mon break DS pour transporter le « barnum » car la météo était menaçante. Par bonheur il n’a pas plu et le public est venu très nombreux. Un beau partage très enrichissant entre nos deux associations. Merci à nos trois mousquetaires d’avoir proposé cet échange. A renouveler …
Et une fois de plus, elle est pas belle la vie ? …. A l’ARH bien sûr !!!
BBLL… bll bbbllub ! …Bbbblllbb… Gloup… Bbllub… Plouf bbblllbbb blub… Pfff ! Ouf, voilà, j’ai réussi à monter à l’étage, l’eau n’arrive heureusement pas jusque là !!! Ya trop d’eau en bas ! Je sens que la journée va être compliquée !!! L’embêtant, c’est que les voitures sont en bas… Et dehors ! Elles vont être complètement noyées les pauvres ! Météo France nous avait promis le déluge et c’est une véritable tempête qui nous sape, dès le petit déjeuner, le moral !
Cette fois, vous n’aurez pas de photos ou vidéos du parking et du départ ; l’appareil n’aurait pas supporté la blague… J’en ai déjà perdu un, il y a quelques années, en Ardèche, en faisant du canoë et comme « chat échaudé craint l’eau froide », restons plutôt prudent !
Au programme, donc, de cette journée immergée : le groupe se scinde à nouveau. La plupart prend la direction de Eu, pour y visiter son château. Quant à l’Opel, l’Ami 8 et la Traction, avaient pris la décision, malgré le temps, de regagner Étretat et la côte pour contempler le littoral et ses falaises. Une fois dans les voitures, on attendait Max et Priscillia qui n’étaient manifestement pas encore là. Je les appelais pour leur préciser qu’on les attendait sur le parking. Mais au bout de 20 minutes, nous constatâmes que leur voiture n’était pas là. Je les ai donc appelé une seconde fois pour savoir où ils étaient et ils m’annoncent tout tranquillement qu’ils sont déjà à Étretat : les goujats !!! Nous prîmes donc immédiatement la route pour les y rejoindre.
Mais une Traction, ça n’aime pas tellement les tempêtes. Et tandis que Tlaloc s’acharnait inexorablement sur nos pauvres petits pare-brise d’antan qui avaient perdu l’habitude de mettre le verre dehors par des temps aussi cataclysmiques, l’essuie-glace passager de la Traction décida d’en finir en se jetant par dépit dans le vide et sur le bitume noyé… Par bonheur, cet acte désespéré ne l’acheva pas et, toujours sous des trombes d’eau, et après que je l’eus récupéré, le docteur Bernard Pericolo l’harnacha solidement sur son support à l’aide de fil de fer et nous pûmes reprendre la route à peu prèssereinement.
Une fois arrivés à Étretat, pas moyen de retrouver Max et Priscillia qui, en fait, n’ayant pas pu sortir de la voiture, ont préféré reprendre la route, direction Eu, sans attendre. De notre côté, on a bien tenté une sortie des véhicules mais le vent violent nous empêchait même de réfléchir à la situation une fois dehors. Remonté à bord, je me dis que c’était vraiment trop bête d’abandonner si près du but, et contre vents et marée, j’ai atteint péniblement le bord de mer, ballotté par Éole malgré mes kilos, et j’ai réussi, je ne sais comment, à capturer quelques images de cet ouragan… Mais mon retour dans la voiture fut très rapide : officiellement pour ne pas faire trop attendre les copains, mais en réalité, moi qui pourtant ne suis pas frileux pour un sou, avais les jambes trempées et les mains gelées, à tel point que c’est seulement une fois arrivé à l’hôtel « La Tour Carrée », havre de notre 3ème et dernière nuit, que j’ai pu retrouver une température humaine, après avoir passé mes mains sous l’eau tiède du robinet !
Oui, parce que, de suite après notre escapade Étretienne, nous avons filé vers Eu, sans passer par la case « Château », l’hôtel nous ayant assuré par téléphone que nos chambres étaient déjà disponibles. Je reconnais que ce n’est pas vraiment sympas pour les copains du Château, mais j’avais vraiment besoin de me changer (j’étais trempé jusqu’à l’os !) et qu’aurions-nous fait en attendant, vu que nous ne désirions pas faire la visite du Château et que toute visite du parc châtelain était compromise…
Finalement, le reste de la troupe nous a rejoint environ deux heures après et nous nous rassemblâmes, au grand complet et arborant fièrement (presque) tous les couleurs du club (en polo ou casquette), sur l’escalier central de l’hôtel. C’est une employée de l’hôtel qui nous a photographié pour que nous puissions tous apparaître sur la photo.
Puis vint le dernier repas collectif de cette longue sortie, au restaurant de l’hôtel, dans une salle qui nous était visiblement réservée (belle attention de nos hôtes !). Mais, en même temps (merde : voilà que je fais du Macron !), aurions-nous tenu, tous, dans la salle du restaurant, avec les autres clients de l’hôtel, de surcroît ? Je ne pense pas ! Toujours est-il que le repas fut, une fois de plus, excellent ; on a vraiment pas eu à se plaindre de ce côté-là depuis le début du séjour ! Puis Laurent, après en avoir demandé l’autorisation au personnel de l’hôtel, est allé rechercher sa sono diabolique dans l’Acadiane et, parce que malgré les apparences, c’est un homme ultra connecté, il s’est improvisé DJ pour la soirée en sélectionnant directement lamusique sur internet depuis son portable et la rebalançant sur son enceinte du diable. Enfin, je critique cette pauvre enceinte qui n’y est pour rien et dont on a bien profité tout de même durant ces quatre jours et spécialement ce soir où nombre d’entre nous ont dansé et rigolé jusqu’à 23h environ. Une belle fête de fin de séjour en somme (et sans mauvais jeu de mots !) ; ça m’a rappelé les fêtes de fin de colo, jadis, quand nous étions encore de vrais enfants… Enfin, tout ça pour dire que l’ambiance fut très bonne et que je ne pense pas me tromper en disant que tout le groupe a apprécié ce moment de convivialité…
Mais ce n’est pas fini ! Une nouvelle journée s’annonce, le lendemain. Certes, elle nous ramènera jusqu’à Halluin, point final de ce périple, mais d’autres escales et visites sont programmées avant l’épilogue. Pourvu que la météo sois plus conciliante : les tempêtes, c’est marrant, mais faut pas que ça dure trop longtemps !!!
Tlaloc, appelé aussi Tlalocantecuhtli (« celui qui fait ruisseler les choses », « celui qui sème », en nahuatl) est un dieu aztèque de l’eau, qui tenait un rôle prépondérant dans la mythologie et la religion des Aztèques, comme c’était le cas de tous les dieux de la pluie dans les religions mésoaméricaines.
Jean-Christophe G
Et pensez à écrire un commentaire pour donner vos impressions…
Comme cela a été dit précédemment, tout le monde a bien dormi : certains épuisés par une semaine harassante, d’autres fatigués par cette première longue journée de route, voire pour certains par les deux, et les derniers juste parce qu’ils sont de grands dormeurs devant l’éternel… Bref, chacun a bien profité de cette première nuit réparatrice !
Mais tout le monde, cette fois, a bien respecté les horaires, même Max et Priscillia, et on était au grand complet devant les moteurs tournants à 9h00 tapantes, après avoir englouti un copieux et savoureux petit déjeuner offert… Ah, heu… Non, pardon ! Vendu par l’hôtel.
Au programme ? Bin, relisez vos documents, que diable ! …On devait se rendre à Fécamp pour visiter le palais Bénédictine, puis rouler jusqu’à Étretat… A la vérité, en écrivant ce résumé, j’ai eu un trou moi aussi et ne savais plus où nous étions allés ce jour… Mais comme mes petits doigts boudinés ne peuvent s’arrêter d’écrire, il fallait bien combler le vide. Voilà pourquoi je vous ai demandé de relire vos documents ! C’est un peu comme les comédiens, au théâtre, qui lorsqu’ils ont un trou en pleine représentation, doivent « meubler » le temps de retrouver leur texte… Mais il faut quandmême que je raconte, pour ceux qui n’ont pas eu la chance (ou le courage !) de venir avec nous que j’avais préparé en amont un programme détaillant heure par heure, pour chaque jour, le déroulement de la journée avec adresses et téléphones des endroits où l’on devait s’arrêter. Je les ai distribué à tout le monde, mais ils n’ont pas cessé de me demander plusieurs fois par jour, quelle était la suite du programme… Heureusement que je l’avais appris par cœur ! Je me demande donc vraiment s’il est utile de préparer de tels documents à l’avenir !
Direction, donc, Fécamp et son palais. La route fut, une fois de plus, très agréable, même si le cortège s’est quelque peu désagrégé et le parcours prévu pas trop respecté, mais on a rencontré des déviations, il y avait des vents contraires, les astres étaient contre nous et… Quoi ? Oui, vous avez sans doute raison : en fait, on est surtout un peu indisciplinés !
On a quand même réussi à se retrouver, je ne sais par quel miracle, au point de rendez-vous, en chemin, sur le parking face à la plage d’Hautot-Sur-Mer. On y avait prévu de pique-niquer mais le temps se dégradait déjà et l’idée de manger dehors n’aurait pas gagné l’élection, s’il y en avait eu, au sein du groupe… Notre Président a bien tenté une négociation chez Adèle, la brasserie juste en face : la possibilité de pique-niquer sur leur terrasse véranda si on consomme les boissons de chez eux, mais il n’a pas eu gain de cause ! On a donc repris la route le ventre vide, pensant qu’on aurait un peu plus de chances plus loin…
Sur cette seconde partie du parcours, le groupe s’est vraiment disloqué. On s’est donc retrouvé en petit comité de quatre voitures, la 204, l’Opel cabriolet, la DS 19 de Bernard et Corinne et la Traction, à sillonner une route verte côtière parsemée de lacets serrés parfois montants et parfois descendants. Et toujours un paysage splendide avec, cerise sur le gâteau, un authentique château dans lequel Sissi Impératrice aurait séjourné… (onremercie Isabelle pour cette information impromptue mais très appropriée et qu’il aurait été dommage de rater). Enfin, on a fait que passer devant et on s’est arrêté un peu plus loin pour enfin manger un morceau sur le pouce. Petite parenthèse : manger sur le pouce est une expression apparue au début du XIXème siècle et signifiait à l’origine : manger debout et rapidement, le pouce servant de levier pour couper morceaux de pain et saucissons, entre autres. Mais revenons à nos moutons. Notre petite route bucolique nous a menée à bon port et la belle cité de Fécamp s’est déployée sous nos yeux ébahis. Très vite, nous avons repéré, parmi les maisons, un toit qui faisait immédiatement penser au palais recherché ; mais nous avions une bonne avance sur l’horaire prévue et décision fut prise d’aller déguster crêpes et gaufres, accompagnées d’une boisson chaude pour enfin prendre un peu soin de nos petits corps frêles. Une fois bien rassasiés, comme nous avions encore du temps devant nous, nous partîmes faire une balade sur le bord de mer. Pendant que je prenais des photos et filmais (les gens vont finir par croire que je ne sais faire que ça… Mais c’est juste que j’ai du être asiatique dans une vie antérieure, qui sait ?), le petit groupe que nous étions s’est encore scindé en trois. Max et Priscillia sont partis en amoureux vers les falaises en marchant sur les galets (enfin « en amoureux » : très vite Max marchait quelques mètres devant, sans attendre sa belle…). Les autres ont pris le chemin opposé vers l’embouchure du port et la jetée. Ania et moi les avons suivi a bonne distance, prenant le temps d’admirer le paysage.
Puis chacun a rejoint à son rythme le palais Bénédictine où presque tout le monde était déjà arrivé. Il a fallu encore attendre notre guide qui avait un peu de retard à cause du groupe précédant qui était arrivé un peu à la bourre ! Mais ce léger retard fut vite oublié devant sa sympathie et son humour. Ses explications étaient claires et fort intéressantes et comme nous étions un groupe visiblement très assidu, elle nous a même fait profiter de quelques secondes d’alarme… En fait, quelqu’un aura du s’appuyer sur une des vitrines et, immanquablement, une sirène puissante et stridente s’est déclenchée quelques instants, figeant sur place visiteurs et personnel du musée. Elodie, notre guide, une fois le calme revenu, justifia le caractère assourdissant de la sirène en précisant qu’elle était destinée à faire fuir rapidement les voleurs… La visite se termina dans la distillerie où est préparée la fameuse bénédictine, boisson légèrement alcoolisée (40°), aux 27 plantes et à la recette aussi secrête que celle du coca-cola (dixit Elodie) malgré les nombreuses tentatives de copies à travers le monde, et que nous pourrions goûter un peu plus tard sous une magnifique verrière en fer forgé, abritant la salle du bar du palais. Décidément, tout est fait pour séduire le client !!!
Après cette immersion dans les effluves de la Bénédictine, chacun repris la route à son rythme jusqu’à Bolbec (à une vingtaine de kilomètres de là)pour regagner l’hôtel relais qui nous attendait pour cette seconde nuit. Cette fois-ci le repas se prenait sur place dans le restaurant de l’hôtel, puis la plupart regagnèrent leur chambre sitôt le dessert englouti. Juste quelques irréductibles résistèrent un moment au marchand de sable, devant un Irish coffee qui ne restera hélas pas dans les annales…
Jean-Christophe G.
Et n’hésitez surtout pas à écrire un commentaire : c’est plus vivant ainsi !
Le grand jour est enfin arrivé… Mais oui, vous savez bien : ce jour où nous devons arpenter, à 36, la côte entre Le Crotoy et Etretat… Ce jour où nous entamons un périple de quatre jours dans la baie de Somme et ses environs.
Nous étions tous là, à 7h00 du matin, enfin tous : non. Maximilien et Priscillia n’étaient pas au rendez-vous. Comme nous sommes mauvaises langues, cela ne nous a pas surpris ; sauf que cette fois-ci ils avaient une bonne raison : Priscillia ayant travaillé la veille jusqu’à 2h et demie du matin, on peut tout à fait comprendre que le réveil allait être pour le moins compliqué ! Mais le Président les a eu au téléphone et ils allaient nous rattraper un peu plus loin sur la route.
Le reste du cortège a donc pris la route en file indienne, après que Picsou 5 ait réveillé tout le quartier avec sa sono ; et, au bout de deux kilomètres seulement, on avait déjà semé trois voitures. Visiblement, on est des pros de la circulation en convoi ! Quand on pense que notre Président avait organisé un briefing détaillé à ce sujet lors de notre dernière réunion mensuelle…
Bref, tout allait pour le mieux quand, juste avant le premier point de ralliement, aux environs du kilomètre 50, la Cox cabriolet a vu un de ses pneus voler en éclats ! Boum, première grosse déconvenue de la journée… Qu’à cela ne tienne : on installe la roue de secours et hop, on reprend la route… Mais que nenni. Figurez-vous que le pneu de la fameuse roue de secours n’était pas conforme aux trois autres ! Et bien, quand ça veut pas, ça veut pas ! Il a donc fallu trouver un garage disposant d’au moins une paire des bons pneus. Heureusement, il y en avait un à 10 km de là. La Cox a donc pris sur 3 pattes et demie le chemin vers ce garage, escortée par Maximilien et Priscillia qui nous avaient rattrapés juste avant.
Le cortège s’est donc remis en route sans attendre et ils nous rattrapèrent beaucoup plus loin. On s’est égaré une ou deux fois (sinon c’est pas marrant !), mais sans que cela nous fasse perdre trop de temps. On a même pris le temps de s’arrêter à Saint Riquier, sur la place devant l’abbaye, que certains ont pris le temps de visiter, pour un pique-nique sauvage sur le parking. Mais ce festin fut de courte durée, dérangé par les premières gouttes d’une série qui allait accompagner presque tout notre périple ! C’est là que la Cox et son escorte nous ont rejoint.
La fin du parcours, jusqu’à Saint Valéry Sur Somme, s’est déroulée sans incident particulier, ouf ! Et nous arrivâmes à l’heure au rendez-vous avec le train de la Baie de Somme. Après que Picsou ait récupéré les billets pour tout le monde, nous prîmes place à bord du train, dans un wagon spécialement réservé pour nous (ils ont quand même bien fait les choses !) et nous voilà partis à la découverte de la Baie de Somme, bercés par le roulis bruyant du wagon et la fumée de la locomotive.
Quelques téméraires, ou curieux, ont opté pour un voyage en plein air sur la passerelle du wagon. Parmi les autres, bien assis dans le compartiment, certains accusaient déjà quelque fatigue et certains yeux se sont fermés. Quel dommage de rater ainsi le spectacle qui défilait dehors…
Le train nous amena au Crotoy où nous avons bénéficié de deux heures de temps libre avant de revenir sur Saint Valéry, toujours en train, pour récupérer les voitures restées sur le parking. Le Crotoy ? C’est assez joli, oui, mais moins que Saint Valéry. Par contre on y apprécie mieux l’estuaire de la Baie qui se dévoile entièrement devant la ville. Du côté de Saint Valéry, pour profiter d’un tel panorama, il faut prendre de la hauteur dans la partie haute de la ville, et là, le spectacle est éblouissant.
De retour à nos chères anciennes, nous sommes partis directement vers l’hôtel IBIS Budget, dans les faubourgs d’Abbeville, et avons pris un bon repas chaud au Comptoir du Malt, un restaurant situé tout près de l’hôtel. Puis nous avons chacun et chacune rejoints nos chambres. Je ne suis pas entré dans chacune d’elles pour voir, mais vu le silence rapide qui a régné dès les portes fermées, je pense ne pas trop me tromper en disant que nous nous sommes tous endormis sans difficultés…
Et oui, déjà la seconde expo Laurie de l’année est passée ; c’était ce samedi, sous un beau soleil ! On aura noté, malgré cette météo alléchante, une petite baisse de fréquentation… …Bon, tout le monde ne peut pas être toujours disponible. En tout cas, thé et café étaient toujours aussi bons, même s’il faudra penser à donner des cours d’utilisation d’une cafetière à un pseudo-british qui s’est quelque peu mélangé les pinceaux en voulant servir ses camarades ! …Mais je ne vous dirais pas qui Est-ce : Il se reconnaîtra.
A noter tout de même la présence d’une CX Leader et d’une Autobianchi Abarth qui ont titillé notre curiosité… …Surtout la seconde, en fait ! Enfin, un petit rassemblement qui, s’il n’a pas attiré grand monde, nous aura tout de même permis d’apprécier ces deux anciennes. Et notre Président du vice dignement représenté la branche de 2 roues en arrivant à cheval sur son Solex 5000 optimisé.
Jean-Christophe G
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