LA BAIE NÉDICTINE : Bonus 1

Ooooh, je vous entends d’ici vous dire : mais, il a quitté le club ! Pourquoi diable écrit-il encore sur ce site ? Et je pourrais vous répondre que c’est parce que je suis un rebelle et que je fais quoi t’est-ce que je veux, ou encore que vu que j’en suis le créateur, il n’est pas question que qui que ce soit d’autre y touche ! …Mais à la vérité, je ne suis ni possessif, ni un bon rebelle (ça se saurait !) ! Non, disons que j’aime juste finir ce que j’ai commencé…

Donc, nous nous sommes (presque) tous regroupés autour d’un banquet à la belle étoile lundi 28 mai au soir, au nouveau local du club pour un débriefing en règle de cette sortie, et, à la demande générale… du Président du Vice, avec la bénédicti… Heu, non ! la bénédiction de Saint Chris… Heu, non : Roooh, ya trop de bénédictions décidément ! …Non, je voulais dire avec la bénédiction inconditionnelle de votre Président, j’ai été chargé de finir le boulot et de faire un article sur ce débriefing.

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LES 50 ANS DE L’AMITRAM suite

Voici quelques photos supplémentaires de la journée anniversaire de l’AMITRAM. Je vous propose une visite virtuelle de l’atelier de MARQUETTE LEZ LILLE. Je suis désolé mais je n’étais présent que samedi et n’ai pas eu l’occasion de me rendre à WAMBRECHIES. Cela dit, je pense sincèrement que le plus intéressant était dans l’atelier… …A moins d’avoir envie de faire un tour en Tram !

Pour les indications sur chaque machine : navré mais je suis loin d’être un expert en la matière. Par contre, vous pouvez demander des détails à nos trois mousquetaires (Cécile, Ludo et Jean-Louis) qui se feront un réel plaisir, je n’en doute pas une seconde, d’éclairer vos lanternes sur ces monstres de bois et de métal…

Alors, elle est pas belle la visite virtuelle ?   …Avec l’ARH, bien sûr !

Jean-Christophe G

 

 

 

L’atelier dans toute sa longueur…

 

 

 

…Une passagère de l’époque qui a oublié de descendre !

 

…En voiture !

 

Même la presse était là…

 

…Un Tram en érection ?

 

 

 

Une sacrée collection…

 

La restauration à l’AMITRAM : c’est du sérieux !

 

HLM pour vis…

 

 

Au centre de la rame !

 

 

 

Attention : un tram peut en cacher un autre !

 

 

…Mais mamie : où elles sont les roues ?

 

 

Le bloc opératoire…
…Et la salle d’attente !

 

 

…Embouteillage ferroviaire !

 

Qui a réellement déjà goûté au DUBONNET ?

 

 

 

 

…Drôle de Tram !!!

 

La navette du jour…

LA BAIE NÉDICTINE : Jour quatre

Et voilà le dernier jour de ce périple normand… La fête improvisée de la veille par Laurent aura eu raison de certains enthousiasmes et c’est une demie heure plus tard que les jours précédents que nous fixons le départ.

Au programme : parcours côtier en convoi vers le Nord (et oui, je vous ai dit, c’est le dernier jour : on revient doucement mais sûrement à la maison !). Puis nous rentrons dans les terres pour faire escale à Montreuil sur Mer, avant de filer vers la métropole lilloise.

Bon, c’est vrai, le convoi n’a tenu que quelques pauvres kilomètres et dès le début du parcours nous avons perdu le cortège… Oh rien de bien extraordinaire : on a en fait suivi sensiblement la même route mais pas en même temps, notre GPS nous indiquant un autre point d’accès pour la route côtière. Du coup, nous avons roulé en solo jusqu’à Montreuil alors que le reste du groupe avait opté pour une escale à Cayeux-Sur-Mer. Vu notre avance sur le programme, donc, nous nous rendîmes à Sainte Cécile (près d’Etaples) pour avoir nous aussi notre pause au bord de la mer où nous avons fêté en comité très restreint l’anniversaire de Didier. Puis nous sommes revenus sur nos pas pour rejoindre le groupe enfin arrivé à Montreuil.

Quel choix judicieux que cet arrêt dans cette ville fortifiée par Vauban, entre autres ! Merci encore au Maître Es Road-Book ! Certains d’entre nous ont découvert les fortifications impressionnantes de cette cité au travers d’une balade pédestre sur les remparts. Ma naïveté me jouant encore des tours, j’admirais cette ville avec le sentiment étrange qu’elle ressemblait à un endroit que j’avais déjà visité, et Françoise V parlant de la célèbre Route Des Vacances nous disait que l’endroit était bien différent sans la foule, je compris soudainement mon erreur : et oui, lors de la Route des Vacances nous passons justement par ici, il est donc logique que ces lieux me rappellent quelque chose !

Enfin, nous avons repris la route et, ho miracle, nous réussîmes enfin à rester en convoi !

Arrivés à Halluin, nous avons investi le nouveau local du club dans lequel Jean-Phi et Didier avaient prévu d’offrir un verre à chacun pour fêter leurs anniversaires respectifs. Cette cérémonie informelle fut l’occasion d’inaugurer en même temps ce nouveau lieu associatif.

Enfin, chacun est rentré chez soi les yeux pleins d’images, de souvenirs et de fatigue aussi un p’tit peu, tous ravis, malgré tout, de la réussite de cette première sortie longue de l’ARH. Espérons que cette expérience fera des petits et qu’il y aura autant de volontaires pour un nouveau périple de ce genre. Personnellement, j’aurai bien signé de suite pour une nouvelle édition mais je ne pense hélas pas faire partie du prochain voyage, certaines âmes étant réticentes à mes actions au sein du club…

 Je profite donc de ce dernier article pour vous remercier toutes et tous (Président compris), d’avoir apprécié ma prose. Je sais qu’on ne peut pas plaire à tout le monde, je quitte donc avec regrets l’ARH, mais je pars serein, convaincu de n’avoir en aucun cas dénigré ni le club, ni ses membres, malgré ce qu’on a pu injustement me reprocher. J’espère sincèrement que vous continuerez à vous amuser autant et que la vie sera éternellement aussi belle… Avec l’ARH, bien sûr !

 

PS : Après cet article, les images bénédictines de Laurent V et Arlette E seront mises en ligne pour conclure définitivement cette belle aventure. Quant au film, il est en cours de montage et paraîtra bientôt (juste un peu après le prochain STAR WARS… Je sais, mais la concurrence était rude et la production LUCAS FILMS ayant plus de moyens que moi, elle a remporté le match !).

Jean-Christophe G

 

Ravitaillement matinal avant la dernière ligne droite…

 

…Comme le temps passe !

 

Autodérision…

 

 

…la chambre

 

…la salle de bain

 

…le couloir

 

 

 

Le parking…

 

 

…Et le cortège démarre.

 

…Tiens ! On n’est pas déjà passé, par là, l’autre jour ?

 

 

…La route côtière…

 

…Et sa vue panoramique !

 

Pause à Sainte Cécile…

 

…Joyeux anniversaire Didier !

 

La mer ? …C’est l’pied !

 

…La plage de Sainte Cécile.

 

Montreuil sur Mer…

 

…Pour les gros appétits !

 

…Les retrouvailles avec le groupe.

 

Ca frime sec à l’ARH !

 

 

Le Bastion de Bouillon…

 

 

…Les bars sont bizarres, par ici !

 

 

Les remparts…

 

 

 

Photographe en herbe…

 

…On cherche son chemin ?

 

 

 

Tout l’monde est sur le pont !

 

 

 

 

L’amour en fleurs…

 

…C’était un voyage de noces ?

 

Le French Cancan en tournée en Province !

 

Maison à vendre…

 

…On est dans une ville historique, ça ne s’invente pas !

 

 

 

 

Paparazzi en action…

 

 

…Les belles se promènent.

 

 

Petit café tranquille…

 

Quelle déco !

 

 

Curieuse boite aux lettres…

 

 

Retour vers Halluin…

 

…Et ouais, c’est fini !

 

Arrivée sur le parking final…

 

 

Alors, c’était bien ?

 

…Ah oui, mais c’était court !

 

Bienvenu au club, nouveau local !

 

Joyeux anniversaire Didier et Jean-Phi !

 

 

Petit tour de table…

 

 

 

 

 

…Une prière avant de consommer…

 

Le bar est ouvert !

 

 

Incitation à l’alcool ou corruption de fonctionnaire ? …En tout cas il a pas l’air très partageur !

 

 

 

…C’est mon mec, lui !

L’ARH et les 50 ans de l’AMITRAM

Les 12 et 13 mai 2018 étaient organisés les 50 ans de l’association l’AMITRAM. Après une inauguration en présence des fondateurs de l’association et des maires concernés, hé oui ces gens s’amusent avec des jouets bien plus gros que les nôtres, et ils s’étalent sur deux communes : Marquette Lez-Lille et Wambrechies, le public a pu envahir le dépôt abritant les quelques 61 véhicules, ateliers de métallerie et de menuiserie que possède l’AMITRAM. Christophe Meuris, nouveau président depuis quelques mois, assistés de trois adhérents de qualité (Cécile, Ludovic et Jean-Louis) tous trois multicartes, nous avaient réservé « le gite et le couvert » pour ces deux jours.

Que de souvenirs d’enfance retrouvés lors de cette visite, avec les véhicules qui me conduisaient à l’école, les documents d’époque et les anciens de l’association qui n’étaient pas avares d’anecdotes sur les transports en commun qui ont occupés toute leurs vies. Bien sûr nous avions un accès libre aux bus qui reliaient les deux sites et aux trois tramways qui se dandinaient sur les bords de la Deûle.

Le samedi au soleil nous étions 9 voitures : la traction de Didier, l’ami 6 de Bernard, le combi de Pierre, la 205 de Caroline, la R16 de Jean-Louis, la DS de Jean, la Rallye 2 d’Eric, le DS de Laurent et mon étoile 6. Dimanche 9 voitures aussi, cette fois garées au départ des trams : la traction de Didier, l’ami 8 de Bernard, la R16 de Jean-Louis, la DS de Jean, la DS de Laurent, la Volvo de Francis, la R4 de Jean-Philippe, la 4cv de Régis et mon break DS pour transporter le « barnum » car la météo était menaçante. Par bonheur il n’a pas plu et le public est venu très nombreux. Un beau partage très enrichissant entre nos deux associations. Merci à nos trois mousquetaires d’avoir proposé cet échange. A renouveler …

Et une fois de plus, elle est pas belle la vie ? …. A l’ARH bien sûr !!!

Jean-Luc D

 

LA BAIE NÉDICTINE : Jour trois

Jour 3 lundi 30 avril.

BBLL… bll bbbllub ! …Bbbblllbb… Gloup… Bbllub… Plouf bbblllbbb blub… Pfff ! Ouf, voilà, j’ai réussi à monter à l’étage, l’eau n’arrive heureusement pas jusque là !!! Ya trop d’eau en bas ! Je sens que la journée va être compliquée !!! L’embêtant, c’est que les voitures sont en bas… Et dehors ! Elles vont être complètement noyées les pauvres ! Météo France nous avait promis le déluge et c’est une véritable tempête qui nous sape, dès le petit déjeuner, le moral !

Cette fois, vous n’aurez pas de photos ou vidéos du parking et du départ ; l’appareil n’aurait pas supporté la blague… J’en ai déjà perdu un, il y a quelques années, en Ardèche, en faisant du canoë et comme « chat échaudé craint l’eau froide », restons plutôt prudent !

Au programme, donc, de cette journée immergée : le groupe se scinde à nouveau. La plupart prend la direction de Eu, pour y visiter son château. Quant à l’Opel, l’Ami 8 et la Traction, avaient pris la décision, malgré le temps, de regagner Étretat et la côte pour contempler le littoral et ses falaises. Une fois dans les voitures, on attendait Max et Priscillia qui n’étaient manifestement pas encore là. Je les appelais pour leur préciser qu’on les attendait sur le parking. Mais au bout de 20 minutes, nous constatâmes que leur voiture n’était pas là. Je les ai donc appelé une seconde fois pour savoir où ils étaient et ils m’annoncent tout tranquillement qu’ils sont déjà à Étretat : les goujats !!! Nous prîmes donc immédiatement la route pour les y rejoindre.

Mais une Traction, ça n’aime pas tellement les tempêtes. Et tandis que Tlaloc s’acharnait inexorablement sur nos pauvres petits pare-brise d’antan qui avaient perdu l’habitude de mettre le verre dehors par des temps aussi cataclysmiques, l’essuie-glace passager de la Traction décida d’en finir en se jetant par dépit dans le vide et sur le bitume noyé… Par bonheur, cet acte désespéré ne l’acheva pas et, toujours sous des trombes d’eau, et après que je l’eus récupéré, le docteur Bernard Pericolo l’harnacha solidement sur son support à l’aide de fil de fer et nous pûmes reprendre la route à peu près sereinement.

Une fois arrivés à Étretat, pas moyen de retrouver Max et Priscillia qui, en fait, n’ayant pas pu sortir de la voiture, ont préféré reprendre la route, direction Eu, sans attendre. De notre côté, on a bien tenté une sortie des véhicules mais le vent violent nous empêchait même de réfléchir à la situation une fois dehors. Remonté à bord, je me dis que c’était vraiment trop bête d’abandonner si près du but, et contre vents et marée, j’ai atteint péniblement le bord de mer, ballotté par Éole malgré mes kilos, et j’ai réussi, je ne sais comment, à capturer quelques images de cet ouragan… Mais mon retour dans la voiture fut très rapide : officiellement pour ne pas faire trop attendre les copains, mais en réalité, moi qui pourtant ne suis pas frileux pour un sou, avais les jambes trempées et les mains gelées, à tel point que c’est seulement une fois arrivé à l’hôtel « La Tour Carrée », havre de notre 3ème et dernière nuit, que j’ai pu retrouver une température humaine, après avoir passé mes mains sous l’eau tiède du robinet !

Oui, parce que, de suite après notre escapade Étretienne, nous avons filé vers Eu, sans passer par la case « Château », l’hôtel nous ayant assuré par téléphone que nos chambres étaient déjà disponibles. Je reconnais que ce n’est pas vraiment sympas pour les copains du Château, mais j’avais vraiment besoin de me changer (j’étais trempé jusqu’à l’os !) et qu’aurions-nous fait en attendant, vu que nous ne désirions pas faire la visite du Château et que toute visite du parc châtelain était compromise…

Finalement, le reste de la troupe nous a rejoint environ deux heures après et nous nous rassemblâmes, au grand complet et arborant fièrement (presque) tous les couleurs du club (en polo ou casquette), sur l’escalier central de l’hôtel. C’est une employée de l’hôtel qui nous a photographié pour que nous puissions tous apparaître sur la photo.

Puis vint le dernier repas collectif de cette longue sortie, au restaurant de l’hôtel, dans une salle qui nous était visiblement réservée (belle attention de nos hôtes !). Mais, en même temps (merde : voilà que je fais du Macron !), aurions-nous tenu, tous, dans la salle du restaurant, avec les autres clients de l’hôtel, de surcroît ? Je ne pense pas ! Toujours est-il que le repas fut, une fois de plus, excellent ; on a vraiment pas eu à se plaindre de ce côté-là depuis le début du séjour ! Puis Laurent, après en avoir demandé l’autorisation au personnel de l’hôtel, est allé rechercher sa sono diabolique dans l’Acadiane et, parce que malgré les apparences, c’est un homme ultra connecté, il s’est improvisé DJ pour la soirée en sélectionnant directement la musique sur internet depuis son portable et la rebalançant sur son enceinte du diable. Enfin, je critique cette pauvre enceinte qui n’y est pour rien et dont on a bien profité tout de même durant ces quatre jours et spécialement ce soir où nombre d’entre nous ont dansé et rigolé jusqu’à 23h environ. Une belle fête de fin de séjour en somme (et sans mauvais jeu de mots !) ; ça m’a rappelé les fêtes de fin de colo, jadis, quand nous étions encore de vrais enfants… Enfin, tout ça pour dire que l’ambiance fut très bonne et que je ne pense pas me tromper en disant que tout le groupe a apprécié ce moment de convivialité…

Mais ce n’est pas fini ! Une nouvelle journée s’annonce, le lendemain. Certes, elle nous ramènera jusqu’à Halluin, point final de ce périple, mais d’autres escales et visites sont programmées avant l’épilogue. Pourvu que la météo sois plus conciliante : les tempêtes, c’est marrant, mais faut pas que ça dure trop longtemps !!!

Tlaloc, appelé aussi Tlalocantecuhtli (« celui qui fait ruisseler les choses », « celui qui sème », en nahuatl) est un dieu aztèque de l’eau, qui tenait un rôle prépondérant dans la mythologie et la religion des Aztèques, comme c’était le cas de tous les dieux de la pluie dans les religions mésoaméricaines.

Jean-Christophe G

 

Petit déjeuner tranquille avant d’affronter la tempête !

 

 

 

Quel luxe de pouvoir garer son bateau devant sa porte !!!

 

morceaux de tempête…

 

…Les mouettes, elles, avaient plutôt l’air d’apprécier !

 

…Embruns garantis !

 

 

Tiens, ils ont semé des plantes carnivores… C’est curieux !

 

Couloirs de l’hôtel.

 

 

On se prépare pour la photo de famille…

 

 

…Et on attend les retardataires !

 

Cheese !

 

Au menu ce soir…

 

…Repas estampillé ARH, s’il vous plait !

 

Terre…

 

…ou mer.

 

 

 

 

Pour le moment, tout est calme…

 

…On déguste le festin.

 

 

 

 

Qu’entends-je ? …De la musique ?

 

Ah ouais ça me chatouille les cordes vocales !

 

Arlette qui danse ? …De mémoire de fonctionnaires, on l’a jamais vue comme ça…

 

…Même après plus de 10 ans à travailler avec elle !

Et pensez à écrire un commentaire pour donner vos impressions…